Ah, j’en étais sûr. Je le savais ! Je me doutais bien. J’avais encore raison.

Mince ! Je me suis trompé. C’est fort déplaisant.

La vérité, ça crève les yeux, et puis ça sort de la bouche des enfants. Celui qui aime la vérité sait la reconnaître. Il n'y a que la vérité qui blesse. Tout finit toujours par se savoir, et la vérité triomphe à la fin !

Qu'est-ce donc que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus. S'il en allait de même avec la preuve ?

« Il y en a qui ne doute de rien. » Ce n'est pas un compliment.

Depuis le début de la philosophie on se demande « ce qu'est de savoir quelque chose ».

Il reste la possibilité que mes paroles aient pour seul but de vous endormir, de vous empêcher de propager la vérité, après tout, le complot est partout.

Où le déploiement d'une intolérance proportionnelle à l'importance que représente l'idée soudain éclaboussée par la contradiction.

Peut-être l'avez vous remarqué, quand on ne cherche pas, parfois, on trouve. Quand on cherche aussi, heureusement, mais ça ne veut pas dire que ce que l'on trouve correspond à ce que l'on cherchait.